Litang : 2020Messages : 144 Date d'inscription : 22/04/2011
Sujet: Les Ombres du Clair de Lune Jeu 12 Mai - 18:21
Nom du Forum : Les Ombres du Clair de Lune
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« Et si je vous disais que votre vie n’étaient remplit que de mensonges et d’illusions, comme réagiriez-vous ?
L’Univers a grandit dans une utopie presque parfaite durant de longues années, la raison était que dans cette Terre la mort n’existait pas. Elle n’avait jamais existé et n’existerait jamais. Mais vous savez les gens sont fous, cela est dans leur nature, car nous ne somme qu’humains… Humains d’un pouvoir absolu, celui de contrôler les choses, humain d’un monde parfait. Nous le sommes et nous détruisons tout, toujours par des guerres ou des prises de pouvoirs stupides, des généralisations des pays de bétons. Rien n’engager à rien, après une période noir le Monde se révolta, et comme un châtiment divin, de nombreuse épidémies et catastrophes virent le jour, détruisant le monde comme bon leur semblaient. Comme il devait être, il faisait froid, et la mort arriva. Au début on ne comprit pas, on ne su pas qu’elle était cette chose qui emportait le souffle, la vie, qui arrivait à détruire et faire souffrir. Cette chose comme un repos, un repos auquel on ne se réveillait jamais. Les gens furent effarés, maintenant on mourrait. Et cela apparut comme un poison puissant dans le cœur des Hommes. Une vermine auquel on ne peut pas se débarrasser, qui pourrissait tout et laisser un parfum acre de souvenirs dans la bouche, les souvenirs et le cerveau. Une odeur indélébile qui faisait oublier, et surtout pleurer. La Mort, car oui, maintenant elle était arrivé, elle existait. Et l’organisation changea, car cela devait en être ainsi, radicalement on ne reconnut plus rien. Les vivants pour répliquer créèrent de nouveau géant de bétons, des villes, détruisant la nature, faisaient une guerre, une horreur perpétuelle auquel on ne pouvait échapper. Milice, dictature, trahison et vole, tragédies mortuaires qui emportaient tout sur son passage, même le bonheur le plus ancré.
Une femme, au nom encore inconnue possédait en elle un pouvoir bien plus grand que les forces de la nature. Une immense faculté, un rêve incroyable qui pouvait aussi bien apporter la paix que la mort absolue. Un don divin qui la hissait au nom du plus grand créateur. Car elle, cette jeune femme de seulement dix-sept savait remodeler le monde à sa guise. Comme bon il lui semblait, un monde perdu dans les arches, elle pouvait en inventer un, le construire, le détruire, créer un peuple et des êtres. Et comme la folie l’habitait cette chose, sans pitié elle tua tout les êtres vivants, bannissant l’horreur mais laissa la mort, comme une chose normale. Elle créa un Univers magnifique, recréant la vie. Et la vie apparut, comme un souffle pendant de longues années, des millénaires complets pour en arriver à nos jours. Et les personnes plongées dans cette communauté ne savaient rien de toute cela, ne connaissaient par leur origines. Ces gens, ses nombreuses vies n’étaient que des corps en repos, la stricte représentation du monde d’avant. Ses gens dormaient pendant de longues années avant de mourir, quand leur rêve de ce monde s’éteignait comme une traînée de poussière. Et la femme prit une place de dieu, une déesse inconnue des Hommes, une déesse qui disparut dans le temps, en même temps que les cauchemars perpétuels des mondes d’avant.
Cette jeune femme, qui maîtrisait un don qu’on nomma ensuite la « Force Première » avait le miracle de manipuler les rêves, tel était la source de son pouvoir, les songes des gens, avec qui elle leur faisait vivre un monde. Le monde, que nous connaissions tous années 2011, une planète corrompue et sur la pente raide de l’extinction, car la folie avait recommencé au beau milieu de son œuvre, une œuvre d’art à l’image de sa créatrice, une discorde total. Et cela continua comme cela devait continuer, jusqu’à ce que la créatrice décida dans un grand accès de solitude de faire venir à elle des personnes qui aurais attiré son attention. Car vous le savez bien chaque âme à une particule unique, et les âmes qu’elle choisissait brillait la nuit d’une étrange lueur dorée ou argentée, comme des petites lucioles. Alors les fit se réveiller et leur montra la vérité. Le véritable monde qui restait aussi froid et plat que l’enfer, d’un blanc immaculé où le sol était soit éventré soit inondé. Et dans un îlot, magnifique survivant habitait la femme dans un décor paradisiaque. Un château baroque dans le style des époques oubliées, qu'on appela ensuite, "Les Ombres du Clair de Lune", car ici les pleines lunes étaient toujours ombrageuses dans le destin de la triste réalité... Quand au sous-sols ils servaient de logement pour les vivants encore endormis dans le rêve du monde créé.
Les faisant venir, les enlevant de leur vie sans plus d’obligation elle prenait tous les moyens qui étaient bon. N’hésitant pas à tuer toute une famille pour cela, pour attirer pour détruire. Et une fois que ces êtres, les lucioles étaient entre ses griffes, la jeune créatrice leur confia une grande responsabilité. Celui de lui tenir compagnie jusqu’à la fin. Car ici le temps était figé et bien que les heures passaient, la mort et leur vie n’existaient plus. Ils restaient jeunes pour l’éternité, figés à l’âge où ils étaient arrivés.